Eric Peters edit

Conseiller de politique européenne du Président de la Commission (BEPA) Écrivez à Eric Peters
  • 18 octobre 2011

    Progress and European globalization: making our 'Belle Epoque' last

    Progress and European globalization: making our 'Belle Epoque' last

    “At the end of that century of peace, things were improving ever more visibly, ever more rapidly. Forty years of peace had strengthened countries' economic foundations, technology had accelerated the pace of life, and scientific discoveries had filled the spirit of that generation with pride. One believed as little in the prospect of relapsing into barbarity, as is the case in wars between European peoples, as in ghosts or witches; they sincerely believed that the borders of differences between nations would little by little melt into a common humanity, and that, in this way, peace and security, the most precious of assets, would be bestowed upon all mankind.” These surprisingly modern comments were written by Stefan Zweig more than 60 years ago. They remind us that the Belle Epoque has a lot more to offer us than an idealised image of elegant women with parasols and hats.

  • 13 octobre 2011

    L’Europe et la Belle Époque

    L’Europe et la Belle Époque

    « À la fin de ce siècle de paix, les choses s’amélioraient d’une façon toujours plus visible, toujours plus rapide. (…) On croyait aussi peu à la perspective d’une rechute dans la barbarie, à des guerres entre peuples européens, qu’aux fantômes ou aux sorcières ; les gens de cette époque croyaient sincèrement que les frontières de différences entre nations allaient peu à peu se fondre dans une humanité commune, et que, de cette façon, la paix et la sécurité, le plus précieux des biens, seraient accordés à toute l’humanité. » Ces lignes étonnamment contemporaines ont été écrites par Stefan Zweig il y a plus de 60 ans. Elles nous rappellent que la Belle Epoque a beaucoup plus à nous offrir qu’une image idéalisée de la femme élégante avec ses ombrelles et ses chapeaux.