Olena Havrylchyk edit

Economiste au CEPII Écrivez à Olena Havrylchyk
  • 15 octobre 2009

    Régulation financière : Tata ou Ferrari ?

    Régulation financière : Tata ou Ferrari ?

    Depuis le début de la crise, les sommets du G20 ont été dominés par le dossier de la régulation financière. Entre les sommets s’est développée une intense activité de rédaction de rapports officiels et de contributions de chercheurs aux Etats-Unis, en Europe et au sein des organisations internationales. Les pays du G20 non-membres du G7 ont été beaucoup plus discrets. Ainsi, les nouveaux principes sont bien adoptés par le G20, mais toujours à l’initiative des économies avancées. Ces principes sont-ils adaptés aux économies émergentes et en développement ? Ne faudrait-il pas adopter des règles différentes pour les Tata et pour les Ferrari ?

  • 26 septembre 2009

    Le G20 entre en scène

    Le G20 entre en scène

    Une conséquence frappante de la crise mondiale a été le remplacement du G7 par le G20 comme principale enceinte de coordination des politiques économiques au niveau international. Cette substitution est un peu paradoxale puisque l’ordre du jour des réunions du G20 s’est, jusqu’ici, concentré sur la régulation financière, thème qui intéresse bien plus les pays du G7 que les 13 autres pays du G20. Les communiqués du G20 ont ainsi été bien plus détaillés sur la régulation financière que sur le commerce international, les déséquilibres de balances de paiement ou la réforme des institutions de Bretton Woods, sujets sur lesquels le point de vue des grands pays émergents est déterminant compte tenu de leur vulnérabilité aux soubresauts du commerce mondial, de leur contribution aux déséquilibres et de leur sous-représentation dans les institutions de gouvernance, particulièrement au Fonds monétaire international (FMI).