Darío Rodríguez edit

Chercheur associé au CERI (Sciences Po) Site personnel de l'auteur Écrivez à Darío Rodríguez
  • 13 avril 2015

    Argentine: l’érosion du capital politique présidentiel

    Argentine: l’érosion du capital politique présidentiel

    Après les élections de 2011, Cristina Kirchner commençait son deuxième mandat avec l’appui de 54,11% des voix et avec une différence de presque 38% par rapport à son concurrent le plus proche. Deux ans plus tard, le parti du gouvernement perdait les élections législatives dans les districts les plus importants du pays et aujourd’hui, face aux présidentielles d’octobre 2015, les pronostics électoraux sont marqués par une incertitude absolue. Comment peut-on expliquer le scénario politique actuel en Argentine?